Quelques rédactions choisies …
Sujet 1 : Racontez notre sortie de classe pour les vendanges, au clos de l’Elu, le lundi 24 septembre.
Une fois dehors, Antoine et moi avons rejoint les autres vendangeurs. Nous avons pris seaux et sécateurs. Après le second seau, j’avais les mains collantes. Louis-Marie, un ouvrier, nous a recommandé de ne pas cueillir une grappe s’il y avait des raisins séchés.
Edouard
Ce matin, les schtroumphs bourdonnent en se préparant à aller dans les vignes : « Tout le monde est-il réuni ? – Oui !, répondent les autres schtroumphs. » Et le travail commence : le schtroumph paysan coupe le raisin, le schtroumph costaud les porte au pressoir, les autres schtroumphs s’occupent des machines, de mettre les bouchons dans les bouteilles… et le grand schtroumph surveille le travail : « A ce que je vois le travail avance bien, l’odeur est remarquable, les raisins sont délicieux, mais quel vacarme ! , s’exclame-t-il.
Baudouin
Nous arrivons sur le lieu des vendanges. Les oiseaux chantent, les feuilles bruissent sous nos pas dans toutes les allées de vigne. Quel silence ! Aucun bruit de voiture, que c’est bon !
Blanche
Sujet 2 : Imaginez que vous êtes un grain de raisin
Bonjour, je m’appelle Ambroise, le petit grain de raisin rouge du cépage du haut de la garde, au château Pierre-Bise. C’est l’automne aujourd’hui. On entend au loin le bruit des tracteurs. Mais qui sont ces personnes qui s’avancent munis d’outils étranges et aiguisés ?
Ambroise
Bonjour, je me nomme Martin, le grain de raisin cultivé au clos de l’Elu. Un matin, il m’est arrivé une aventure extraordinaire.
A l’autre bout de la rangée de ma vigne, j’aperçus plusieurs personnes munis d’outils étranges. J’avais perçu que leurs outils tranchants coupaient le haut des tiges tendres qui nous maintenait. Plus tard, je me sentais transporté puis je vins m’écraser contre d’autres grais de raisin. Je me demandais ce qui allait m’arriver.
Aubin
Sujet 3 : La saison automnale commence avec les vendanges. Décrivez l’histoire de l’image ci-dessous.
Voici la famille Duchemin au beau milieu de la campagne bretonne. A sept heures et demi, le soleil commence se lever derrière les vignes.
Dans la ferme de La Vanoise, sur une botte de paille, le coq chante, la famille se réveille, la journée va être dure aujourd’hui car ce sont les vendanges. Après le petit-déjeuner, les Duchemin partent dans les vignes, accompagnés du chien Médor. Ils commencent le travail: pendant que Marie et ses enfants Paul, Antoine et Marguerite coupent, le père Henri court chercher la charrette. Après trois heures de vendanges, la famille fait une pause. Le soleil est haut dans le ciel, les cigales et les oiseaux chantent, l’eau de la rivière ruisselle: c’est merveilleux! Pour les gourmands, le raisin râpe la langue. Les doigts collants, Antoine se décourage et arrête de couper; il se dirige vers les comportes et déguste le raisin juteux. Mais soudain il sent la charrette bouger: c’est son papa qui refait un voyage vers le pressoir. Assis à l’arrière de la charrette, Antoine continue sa dégustation. Il est dix-neuf heures quinze, la famille rentre à la ferme, le potage est chaud sur la table; après le dîner: la prière et tout le monde au lit! Car demain il va falloir continuer!
Cette nuit, dans la ferme de La Vanoise, tout est calme: le poulailler est endormi, les bœufs sont dans l’étable, et les vendangeurs dans leur lit; tout est silencieux…
Gaëtan
Xavier, le frère aîné, arrive dans sa charrette remplie de comportes vides. Le père crie de sa chambre : « Ne prenez pas tout car demain la classe de CM2 de l’école Saints Louis et Zélie Martin vient nous aider à vendanger. Le petit dernier arrive, suivi de sa maman. Il se met à courir vite jusqu’aux seaux.
Axel